
Pendant longtemps, on a cru que le cerveau adulte était figé. Que les connexions se stabilisaient à l’adolescence et qu’ensuite, il ne faisait que décliner. Mauvaise pioche... ce qui est une bonne nouvelle. 😃
Grâce aux avancées en neurosciences, on sait aujourd’hui que notre cerveau reste capable de se transformer tout au long de notre vie.
C’est ce qu’on appelle la plasticité cérébrale : la capacité de notre cerveau à se réinventer.
Mais qu’est-ce que ça veut dire concrètement ?
Pour mieux comprendre, je vous propose de découvrir cette capacité par le biais de 3 images.
Allez, c’est parti !
Grâce aux avancées en neurosciences, on sait aujourd’hui que notre cerveau reste capable de se transformer tout au long de notre vie.
C’est ce qu’on appelle la plasticité cérébrale : la capacité de notre cerveau à se réinventer.
Mais qu’est-ce que ça veut dire concrètement ?
Pour mieux comprendre, je vous propose de découvrir cette capacité par le biais de 3 images.
Allez, c’est parti !

1. La plasticité cérébrale : un jardin en mutation permanente
Imaginez votre cerveau comme un vaste jardin.
Chaque idée, chaque émotion, chaque apprentissage est une graine neuronale.
Certaines poussent facilement, d’autres ont besoin de plus de lumière (de répétitions et/ou de sommeil 😴), et d’autres encore sont mises en retrait, s’il n’y a plus d’intérêt ou de réactivation.
Ce jardin n’est jamais figé :
🌱 Les connexions naissent et se renforcent quand vous apprenez quelque chose de nouveau.
🍂 Elles s’affaiblissent si vous n’utilisez plus certaines connaissances (ex. : une langue que l’on oublie peu à peu, faute de pratique).
🌻 Mais elles peuvent repousser : après un choc, comme un burn-out, une chimiothérapie, une dépression...
Par exemple, certains patients ayant eu un AVC et parlant deux langues, se sont réveillés ne connaissant plus leur propre langue maternelle, mais pouvaient s'exprimer avec celle qu'ils avaient apprise.
👉 Plusieurs études ont été faites sur les fameux chauffeurs de taxi londoniens : les "Black Cabs", qui sont les seuls à avoir terminés une formation très difficile "The Knowledge" ("La connaissance" : mémorisation de TOUTES les rues de Londres). Si, si, c'est possible ! 😁Elles ont démontré que certaines zones du cerveau, comme l’hippocampe (porte de la mémoire) "peuvent s'agrandir" avec un entraînement intensif.
Chez les enfants, la plasticité est rapide.
Chez les adultes, elle est toujours active, juste plus exigeante : elle a besoin de répétition, de motivation, et d’émotion pour s’ancrer.
Chaque idée, chaque émotion, chaque apprentissage est une graine neuronale.
Certaines poussent facilement, d’autres ont besoin de plus de lumière (de répétitions et/ou de sommeil 😴), et d’autres encore sont mises en retrait, s’il n’y a plus d’intérêt ou de réactivation.
Ce jardin n’est jamais figé :
🌱 Les connexions naissent et se renforcent quand vous apprenez quelque chose de nouveau.
🍂 Elles s’affaiblissent si vous n’utilisez plus certaines connaissances (ex. : une langue que l’on oublie peu à peu, faute de pratique).
🌻 Mais elles peuvent repousser : après un choc, comme un burn-out, une chimiothérapie, une dépression...
Par exemple, certains patients ayant eu un AVC et parlant deux langues, se sont réveillés ne connaissant plus leur propre langue maternelle, mais pouvaient s'exprimer avec celle qu'ils avaient apprise.
👉 Plusieurs études ont été faites sur les fameux chauffeurs de taxi londoniens : les "Black Cabs", qui sont les seuls à avoir terminés une formation très difficile "The Knowledge" ("La connaissance" : mémorisation de TOUTES les rues de Londres). Si, si, c'est possible ! 😁Elles ont démontré que certaines zones du cerveau, comme l’hippocampe (porte de la mémoire) "peuvent s'agrandir" avec un entraînement intensif.
Chez les enfants, la plasticité est rapide.
Chez les adultes, elle est toujours active, juste plus exigeante : elle a besoin de répétition, de motivation, et d’émotion pour s’ancrer.
